ANNEXE 1 : MODELES DE CONTRAT TYPE
ABSENCE DE CORPS DE FONCTIONNAIRES SUSCEPTIBLES D'ASSURER
LES ONCTIONS CORRESPONDANTES
EMPLOIS DE CATEGORIE A LORSQUE
LA NATURE DES FONCTIONS OU
LES BESOINS DES SERVICES LE JUSTIFIENT
CONTRAT A DUREE DETERMINEE OU INDETERMINEE SUR UN TEMPS
INCOMPLET
CONTRAT A DUREE DETERMINEE REMPLACEMENT D’UN TITULAIRE OU
D’UN CONTRACTUEL
ACCROISSEMENT TEMPORAIRE OU SAISONNIER D'ACTIVITE
Modèle de contrat
type
ABSENCE DE CORPS DE FONCTIONNAIRES SUSCEPTIBLES D'ASSURER LES FONCTIONS
CORRESPONDANTES
CONTRAT
Vu la
loi n° 83-634 du 13 juillet 1983
modifiée, portant droits et
obligations des fonctionnaires, ensemble
la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984
modifiée portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État, notamment
son article 4-1 ;
Vu le
décret n° 86-83 du 17 janvier 1986
modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non
titulaires de l’État pris
pour l’application de
l’article 7
de la
loi n° 84-16 du
11 janvier 1984
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’État ;
Vu le
décret n° 85-1148 du
24 octobre 1985
modifié relatif
à la
rémunération des personnels
civils et militaires de
l’État et des personnels des collectivités territoriales ;
Nota : ce visa
n’est nécessaire que si
la rémunération est fixée en
référence à un indice de
la fonction publique.
Cela signifie que cette
rémunération évolue en fonction de l’évolution de la valeur du point d’indice.
Vu le
décret n° 2000-815 du 25 août 2000
modifié relatif à l'aménagement et à la réduction du temps de travail
dans la fonction publique de l'État ;
Vu le
décret n°2006-781 du 3
juillet 2006
fixant les
conditions et
les modalités
de règlement
des frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels
civils de l'État ;
Vu le
décret n°2007-658 du 2
mai 2007
relatif au
cumul d'activités
des fonctionnaires, des
agents non titulaires de droit public et des ouvriers des établissements
industriels de l'État ;
Entre les soussignés :
L’XX (nom de l’administration) représenté par XXX (nom du représentant et
qualité),
D’une part,
Monsieur [Madame] XX Né le XX à
………… Demeurant : XX
De nationalité française [ou autre]
D’autre part,
Considérant qu'il n'existe pas de corps de fonctionnaires susceptibles d'assurer
les fonctions de…..
Il a été convenu ce
qui suit :
Article 1er
Monsieur [Madame] XX est
engagé à temps complet en qualité d’agent contractuel au titre de
l’article 4 -1° de la
loi du 11 janvier 1984
susvisée.
Ce contrat est conclu
pour une durée déterminée de
XX mois ou année [ possibilité d’un primo-recrutement en contrat
à durée indéterminée].
Il prend effet le XX et prend
fin le XX. Il est soumis à
l’ensemble des dispositions du décret du 17 janvier 1986 susvisé.
Article 2
Pendant la durée du présent
contrat, Monsieur
[Madame] XX assure les fonctions « xx », de
catégorie hiérarchique « xx » auprès de l’XX (nom de l’administration).
La description
des fonctions exercées
fait l’objet
d’une fiche
annexée au
présent contrat.
Monsieur [Madame] XX déclare avoir pris connaissance de son contenu.
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions sous l’autorité du xx (fonctions).
Monsieur [Madame] XX s’engage,
pendant la durée de ce
contrat, à respecter à respecter les instructions et directives qui
pourront lui être
données par son
supérieur hiérarchique, par
le Directeur ou la personne qu’il
délègue à
cet effet,
et à
se conformer
aux règles
régissant le
fonctionnement interne
de l’administration.
Article 3
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions xx (adresse du lieu de travail).
L’intéressé pourra être
amené, dans le cadre de ses activités professionnelles et pour le bon
déroulement du service, à effectuer des déplacements de durée variable sur le
territoire métropolitain, en Outre-mer ou à
l’étranger. Tout déplacement
fera l’objet d’un ordre de
mission qui en fixera le
lieu, la durée et l’objet. Monsieur
[Madame] XX effectue les déplacements requis par sa fonction quelles
qu’en soit la fréquence et la durée.
Le remboursement des frais supportés à cette
occasion sera effectué, conformément aux
dispositions du décret
n°2006-781 du
3 juillet
2006 fixant
les conditions
et les
modalités de
règlement des
frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils
de l'État.
Article 4
Version 1 :
La rémunération de Monsieur
[Madame] XX est fixée par référence à un indice de la fonction publique. Elle
s’élève annuellement à XX €. Cette
dernière est versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de l’intéressé.
La rémunération se décompose comme suit :
- IB : XX, correspondant, à la date
d’entrée en vigueur du contrat, à
l’indice nouveau majoré
(INM) XX :
Ce montant est
indexé sur l’évolution de
la valeur du point fonction
publique et suit les évolutions de
la correspondance Indice brut/INM : XX x Valeur mensuelle du point
fonction publique = XX €, soit XX € bruts mensuels,
- Indemnité de
résidence : XX x
(taux applicable)%
= XX €,
soit une
rémunération correspondant à XX € bruts mensuels,
À cette rémunération
s’ajoute, le
cas échéant, sur production
des pièces justificatives,
le supplément familial de
traitement ainsi que (le cas échéant) les primes suivantes (…).
Version 2 :
La rémunération brute globale de
Monsieur [Madame] XX est
égale à XX euros par an,
soit, compte tenu des taux
de cotisation en
vigueur à la date
de signature du contrat,
une rémunération nette
mensuelle de XX euros. Cette
dernière est versée au
prorata de la durée
effective du contrat et du temps de
travail de l’intéressé.
La rémunération fixée ci-dessus est exclusive de
tout autre
indemnité, sous réserve du
versement des indemnités représentatives de
frais en tant
qu’elles correspondent à des
dépenses réelles et dès lors
qu’elles sont prévues par un texte
réglementaire.
Cette rémunération représente la
contrepartie forfaitaire de
l’activité exercée par Monsieur
[Madame] XX, incluant
notamment d’éventuels dépassements
d’horaires inhérents
à la
nature des fonctions
et des responsabilités
exercées.
La rémunération est susceptible d’être réévaluée au
vu notamment de l’évaluation
professionnelle ou de l’évolution
des fonctions
dans les
conditions fixées
par l’article
1-3 du
décret du
17 janvier
1986
(réévaluation de la rémunération
des agents en CDI au
minimum tous les trois ans / réévaluation de
la rémunération des agents
en CDD
au moins
tous les trois
ans sous réserve que cette
durée ait été effectuée de
manière continue auprès du même employeur).
Article 5 (pour les seuls CDD)
À l’issue de la
période prévue à
l’article 1er,
le présent contrat
peut éventuellement
faire l’objet
d’un renouvellement sous réserve des dispositions législatives qui lui
sont applicables.
L’XX (nom
de l’administration)
notifie à
l’intéressé, par
courrier, son
intention de
renouveler ou
non l’engagement au plus tard [XXX – cf. article 45 du
décret du 17 janvier 1986
– variation du délai en fonction de
la durée du CDD]. Monsieur
[Madame] XX dispose d'un
délai de 8 jours pour
faire connaître le cas échéant, son
acceptation. En cas
d’absence de réponse dans ce
délai, le co-contractant est
présumé renoncer à son emploi.
Ce renouvellement fait l’objet d’un avenant au présent contrat.
Article 6
Le présent contrat ne
devient définitif qu’à
l’issue d’une période d’essai
[i]
fixée à XX mois (cf. article 9 du décret du
17 janvier
1986). Cette
période est
éventuellement renouvelable
une fois,
pour une
même période, par voie d’accord écrit, à l’initiative de l’une ou l’autre
des parties. Durant cette
période, la rupture du contrat
par l’administration s’effectue sans préavis ni indemnité. Cette
rupture est notifiée à
l’autre partie par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Monsieur [Madame] XX s’engage,
durant cette
période, à fournir l’ensemble des documents nécessaires à la constitution
de son dossier administratif.
Article 7
Le cas
échéant, Monsieur
[Madame] fournit
les certificats
de travail
attestant de
son ancienneté de services
publics, délivrés en application de
l’article 44-1 du
décret du 17 janvier 1986,
lorsqu’il a déjà été recruté par une
administration.
Article 8
Monsieur [Madame] XX
bénéficie, compte tenu de la
durée de service effectuée, d’un congé annuel, dont la durée et
les conditions d’attribution sont
identiques à celles des
congés annuels des fonctionnaires prévues par le décret n°84-972 du 26 octobre
1984 relatif aux congés annuels des
fonctionnaires de l’État.
Ces congés sont pris après accord du supérieur hiérarchique, compte tenu des
nécessités du service.
Si l’agent n'a pas pu bénéficier de
ses droits à congés annuels, du fait de
l'administration, il percevra une indemnité compensatrice égale au
1/10ème de sa rémunération brute
totale.
Article 9
Dans l’exercice de
ses fonctions, l’intéressé
est soumis
aux droits
et obligations
prévues au titre
Ier du statut
général des fonctionnaires et à celles prévues par
le
décret du 17 janvier 1986
susvisé. En cas de manquement à ces
obligations, Monsieur [Madame] XX
s’expose aux sanctions disciplinaires prévues par ce même décret.
Monsieur [Madame]
XX s’engage notamment à
respecter la réglementation
relative au
cumul d’activités fixé par
le décret n°2007-658 du 2 mai 2007
relatif au cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de
droit public et des ouvriers
des établissements industriels de
l'État et
à n’exercer aucune activité
dans une autre
Administration, Institution,
Collectivité, ou
Société, sans information
et le
cas échéant, l’autorisation du Directeur de l’XX (nom de
l’administration).
Monsieur [Madame] XX s’engage
également à respecter les règles relatives au
départ des agents publics vers le secteur privé fixées notamment à
l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983 susvisée.
Article 10
Tout arrêt de
travail pour cause de
maladie doit être signalé
par l’intéressé au
Directeur de l’XX (nom
de l’administration), et la prescription médicale transmise à l’employeur
dans les 48 heures.
Article 11
Pour ce
qui concerne la couverture sociale, Monsieur
[Madame] XX est soumis au
régime général de la
sécurité sociale, conformément aux dispositions du
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Pour ce
qui concerne la retraite complémentaire, il
est affilié au
régime de retraite
complémentaire des agents non titulaires de l’État, géré
par l’IRCANTEC.
Article 12
Monsieur [Madame]
XX doit déclarer
s’il est lié
à un
autre employeur.
L’intéressé s’engage
à faire connaître sans
délai, tout changement de situation le concernant.
Article 13
Le présent
contrat peut
être rompu
à l’initiative
de l’une
ou l’autre
des parties, conformément
aux dispositions réglementaires en vigueur,
notamment le
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
1) Licenciement
Monsieur [Madame]
XX ne peut
être licencié(e)
qu’après respect du
préavis mentionné
à l’article
46 du
décret du 17 janvier 1986
susvisé et avis de la commission consultative paritaire (CCP) compétente.
L'attribution du
préavis tel
que déterminé
ci-dessus est
toutefois conditionnée
par l'application
des dispositions de la réglementation en vigueur au moment de la rupture
du contrat.
Il en est fait de même pour l'attribution de l'indemnité de licenciement.
Le licenciement est notifié par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception.
2) Démission
Monsieur [Madame]
XX devra le
cas échéant, informer
l’autorité administrative
de son
intention de démissionner
par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception
en respectant le préavis fixé à
l’article 48 du
décret du 17 janvier 1986.
Article 14
L’administration délivre à Monsieur
[Madame] XX, à la fin du
contrat, un
certificat administratif attestant, conformément
à l’article
44-1 du
décret du
17 janvier
1986, la
durée des services
publics effectifs accomplis,
la description des fonctions exercées, la catégorie hiérarchique dont
elles relèvent et la durée pendant laquelle elles ont été effectivement
exercées, le cas échéant les périodes de congés non assimilés à des périodes de
travail effectifs.
Article 15
Tous litiges soulevés par le présent contrat
relèvent de la juridiction administrative dans le respect du délai de
recours de deux mois.
Fait, à Paris, en trois exemplaires originaux, dont un est remis à l’intéressé,
le
Le directeur de l’XX (nom de l’administration)
Signature de de l’intéressé(e) (précédée de la mention « lu et approuvé
»)
Visa du contrôleur d’État
Modèle de contrat
type
EMPLOIS DE CATEGORIE A LORSQUE LA
NATURE DES FONCTIONS OU LES BESOINS
DES SERVICES LE JUSTIFIENT
CONTRAT
Vu la
loi n° 83-634 du 13 juillet 1983
modifiée, portant droits et
obligations des fonctionnaires, ensemble
la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984
modifiée portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État,
notamment son article 4-2 ;
Vu le
décret n° 86-83 du 17 janvier 1986
modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non
titulaires de l’État pris
pour l’application de
l’article 7
de
la loi n° 84-16 du
11 janvier 1984
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’État ;
Vu le
décret n° 85-1148 du
24 octobre 1985
modifié relatif
à la
rémunération des personnels
civils et militaires de
l’État et des personnels des collectivités territoriales ;
Nota : ce visa
n’est nécessaire que si
la rémunération est fixée en
référence à un indice de
la fonction publique.
Cela signifie que cette
rémunération évolue en fonction de l’évolution de la valeur du point d’indice.
Vu le
décret n° 2000-815 du 25 août 2000
modifié relatif à l'aménagement et à la réduction du temps de travail
dans la fonction publique de l'État ;
Vu le
décret n°2006-781 du 3
juillet 2006
fixant les
conditions et
les modalités
de règlement
des frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels
civils de l'État ;
Vu le
décret n°2007-658 du 2
mai 2007
relatif au
cumul d'activités
des fonctionnaires, des
agents non titulaires de droit public et des ouvriers des établissements
industriels de l'État ;
Entre les soussignés :
L’XX (nom de l’administration) représenté par XXX (nom du représentant et
qualité),
D’une part,
Monsieur [Madame] XX Né le XX à
………… Demeurant : XX
De nationalité française [ou autre]
D’autre part,
Considérant que la
nature des fonctions ou
les besoins
des services justifient
le recrutement d’un
agent contractuel et qu'aucun fonctionnaire n'a pu être
recruté dans les conditions prévues par la loi,
Il a été convenu ce
qui suit :
Article 1er
Monsieur [Madame] XX est
engagé à temps complet en qualité d’agent contractuel au titre de
l’article 4 -2° de la
loi du 11 janvier 1984
susvisée.
Ce contrat est conclu pour une
durée déterminée de XX mois ou année.
Il prend effet le XX et prend
fin le XX. Il est soumis à
l’ensemble des dispositions du décret du 17 janvier 1986 susvisé.
Article 2
Pendant la durée du présent
contrat, Monsieur
[Madame] XX assure les fonctions « xx », de
catégorie hiérarchique « A » auprès de l’XX (nom de l’administration).
La description
des fonctions exercées
fait l’objet
d’une fiche
annexée au
présent contrat.
Monsieur
[Madame] XX déclare avoir pris connaissance de son contenu.
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions sous l’autorité du xx (fonctions).
Monsieur [Madame] XX s’engage,
pendant la durée de ce contrat, à respecter les instructions et directives qui
pourront lui être
données par son supérieur hiérarchique, par le Directeur ou la personne
qu’il délègue à cet effet, et à se conformer aux règles régissant le
fonctionnement interne de l’administration.
Article 3
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions xx (adresse du lieu de travail).
L’intéressé pourra être
amené, dans le cadre de ses activités professionnelles et pour le bon
déroulement du service, à effectuer des déplacements de durée variable sur le
territoire métropolitain, en Outre-mer ou à
l’étranger. Tout déplacement
fera l’objet d’un ordre de
mission qui en fixera le
lieu, la durée et l’objet. Monsieur
[Madame] XX effectue les déplacements requis par sa fonction quelles
qu’en soit la fréquence et la durée.
Le remboursement des frais supportés à cette
occasion sera effectué, conformément aux
dispositions du décret
n°2006-781 du
3 juillet
2006 fixant
les conditions
et les
modalités de
règlement des
frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils
de l'État.
Article 4
Version 1 :
La rémunération de Monsieur
[Madame] XX est fixée par référence à un indice de la fonction publique. Elle
s’élève annuellement à XX €. Cette
dernière est versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de l’intéressé.
La rémunération se décompose comme suit :
- IB : XX, correspondant, à la date
d’entrée en vigueur du contrat,
à l’indice nouveau majoré
(INM) XX :
Ce montant est
indexé sur l’évolution de
la valeur du point fonction
publique et suit les évolutions de
la correspondance Indice brut/INM : XX x Valeur mensuelle du point
fonction publique = XX €, soit XX € bruts mensuels,
- Indemnité de
résidence : XX x
(taux applicable)%
= XX €,
soit une
rémunération correspondant à XX € bruts mensuels,
À cette rémunération
s’ajoute, le
cas échéant, sur production
des pièces justificatives,
le supplément familial de
traitement ainsi que (le cas échéant) les primes suivantes (…).
Version 2 :
La rémunération brute globale de
Monsieur [Madame] XX est
égale à XX euros par an,
soit compte tenu des taux de
cotisation en vigueur
à la date de
signature du contrat, une
rémunération nette mensuelle
de XX euros. Cette dernière est
versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de
l’intéressé.
La rémunération fixée ci-dessus est exclusive de
tout autre
indemnité, sous réserve du
versement des indemnités représentatives de
frais en tant
qu’elles correspondent à des
dépenses réelles et dès lors
qu’elles sont prévues par un texte
réglementaire.
Cette rémunération représente la
contrepartie forfaitaire de
l’activité exercée par Monsieur
[Madame] XX, incluant
notamment d’éventuels dépassements
d’horaires inhérents
à la
nature des fonctions
et des responsabilités
exercées.
La rémunération est susceptible d’être réévaluée au
vu notamment de l’évaluation
professionnelle ou de l’évolution
des fonctions
dans les
conditions fixées
par l’article
1-3 du
décret du
17 janvier
1986
(réévaluation de la rémunération
des agents en CDI au
minimum tous les trois ans / réévaluation de
la rémunération des agents
en CDD
au moins
tous les trois
ans sous réserve que cette
durée ait été effectuée de
manière continue auprès du même employeur).
Article 5 (pour les seuls CDD)
À l’issue de la
période prévue à
l’article 1er,
le présent contrat
peut éventuellement
faire l’objet
d’un renouvellement sous réserve des dispositions législatives qui lui
sont applicables L’XX (nom de
l’administration) notifie à l’intéressé, par courrier, son intention de
renouveler ou non l’engagement au plus tard [XXX – cf. article 45 du
décret du 17 janvier 1986
– variation du délai en fonction de la
durée du CDD]. Monsieur [Madame] XX
dispose d'un délai de 8 jours pour faire connaître le cas échéant, son
acceptation. En cas d’absence de réponse dans ce délai, le co-contractant
est présumé renoncer à son emploi.
Ce renouvellement fait l’objet d’un avenant au présent contrat.
Article 6
Le présent contrat ne
devient définitif qu’à
l’issue d’une période d’essai[ii]109
fixée à XX mois (cf. article 9 du décret du
17 janvier
1986). Cette
période est
éventuellement renouvelable
une fois,
pour une
même période, par voie d’accord écrit, à l’initiative de l’une ou l’autre
des parties. Durant cette
période, la rupture du contrat
par l’administration s’effectue sans préavis ni indemnité. Cette
rupture est notifiée à
l’autre partie par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Monsieur [Madame] XX s’engage,
durant cette
période, à fournir l’ensemble des documents nécessaires à la constitution
de son dossier administratif.
Article 7
Le cas
échéant, Monsieur
[Madame] fournit
les certificats
de travail
attestant de
son ancienneté de services
publics, délivrés en application de
l’article 44-1 du
décret du 17 janvier 1986,
lorsqu’il a déjà été recruté par une
administration.
Article 8
Monsieur [Madame] XX
bénéficie, compte tenu de la
durée de service effectuée, d’un congé annuel, dont la durée et
les conditions d’attribution sont
identiques à celles des
congés annuels des fonctionnaires prévues par le décret n°84-972 du 26 octobre
1984 relatif aux congés annuels des
fonctionnaires de l’État.
Ces congés sont pris après accord du supérieur hiérarchique, compte tenu des
nécessités du service.
Si l’agent n'a pas pu bénéficier de
ses droits à congés annuels, du fait de
l'administration, il percevra une indemnité compensatrice égale au
1/10ème de sa rémunération brute
totale.
Article 9
Dans l’exercice de ses fonctions, l’intéressé est soumis aux droits et
obligations prévus au titre Ier du statut général
des fonctionnaires et
à celles
prévues par le
décret du 17
janvier 1986
susvisé. En cas de
manquement à ces obligations, Monsieur
[Madame] XX s’expose aux sanctions disciplinaires prévues par ce même
décret.
Monsieur [Madame]
XX s’engage notamment à
respecter la réglementation
relative au
cumul d’activités fixé par
le décret n°2007-658 du 2 mai 2007 relatif au cumul d'activités des
fonctionnaires, des agents non titulaires
de droit
public et
des ouvriers des
établissements industriels
de l'État
et à
n’exercer aucune activité
dans une autre
Administration, Institution,
Collectivité, ou
Société, sans information
et le
cas échéant, l’autorisation du Directeur de l’XX (nom de
l’administration).
Monsieur [Madame] XX s’engage
également à respecter les règles relatives au
départ des agents publics vers le secteur privé fixées notamment à
l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983 susvisée.
Article 10
Tout arrêt de
travail pour cause de
maladie doit être signalé
par l’intéressé au
Directeur de l’XX (nom
de l’administration), et la prescription médicale transmise à l’employeur
dans les 48 heures.
Article 11
Pour ce
qui concerne la
couverture sociale, Monsieur
[Madame] XX est
soumis au
régime général
de la sécurité sociale,
conformément aux dispositions du
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Pour ce
qui concerne la
retraite complémentaire,
il est
affilié au
régime de
retraite complémentaire
des agents non titulaires de l’État, géré
par l’IRCANTEC.
Article 12
Monsieur [Madame]
XX doit déclarer
s’il est lié
à un
autre employeur.
L’intéressé s’engage
à faire connaître sans
délai, tout changement de situation le concernant.
Article 13
Le présent
contrat peut
être rompu
à l’initiative
de l’une
ou l’autre
des parties, conformément
aux dispositions réglementaires en vigueur,
notamment le
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
1) Licenciement
Monsieur [Madame]
XX ne peut
être licencié(e)
qu’après respect du
préavis mentionné
à l’article
46 du
décret du 17 janvier 1986
susvisé et avis de la commission consultative paritaire (CCP) compétente.
L'attribution du
préavis tel
que déterminé
ci-dessus est
toutefois conditionnée
par l'application
des dispositions de la réglementation en vigueur au moment de la rupture
du contrat.
Il en est fait de même pour l'attribution de l'indemnité de licenciement.
Le licenciement est notifié par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception.
2) Démission
Monsieur [Madame]
XX devra le
cas échéant, informer
l’autorité administrative
de son
intention de démissionner
par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception
en respectant le préavis fixé à
l’article 48 du
décret du 17 janvier 1986.
Article 14
L’administration délivre à Monsieur
[Madame] XX, à la fin du
contrat, un
certificat administratif attestant, conformément
à l’article
44-1 du
décret du
17 janvier
1986, la
durée des services
publics effectifs accomplis,
la description des fonctions exercées, la catégorie hiérarchique dont
elles relèvent et la durée pendant laquelle elles ont été effectivement
exercées, le cas échéant les périodes de congés non assimilés à des périodes de
travail effectifs.
Article 15
Tous litiges soulevés par le présent contrat
relèvent de la juridiction administrative dans le respect du délai de
recours de deux mois.
Fait, à Paris, en trois exemplaires originaux, dont un est remis à l’intéressé,
le
Le directeur de l’XX (nom de l’administration)
Signature de de l’intéressé(e) (précédée de la mention « lu et approuvé
»)
Visa du contrôleur d’État
CONTRAT A DUREE DETERMINEE OU INDETERMINEE SUR UN TEMPS INCOMPLET
Vu
la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983
modifiée, portant droits et
obligations des fonctionnaires, ensemble
la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984
modifiée portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État,
notamment son article 6 ;
Vu le
décret n° 86-83 du 17 janvier 1986
modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non
titulaires de l’État pris
pour l’application de
l’article 7
de
la loi n° 84-16 du
11 janvier 1984
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’État ;
Vu le
décret n° 85-1148 du
24 octobre 1985
modifié relatif à la
rémunération des personnels civils et militaires de l’État et des personnels des
collectivités territoriales ;
Nota : ce visa
n’est nécessaire que si la
rémunération est fixée en référence
à un indice de
la fonction publique.
Cela signifie que cette
rémunération évolue en fonction de l’évolution de la valeur du point d’indice.
Vu le
décret n° 2000-815 du 25 août 2000
modifié relatif à l'aménagement et à la réduction du temps de travail
dans la fonction publique de l'État ;
Vu le
décret n°2006-781 du 3
juillet 2006 fixant les
conditions et les modalités de
règlement des frais occasionnés par les déplacements temporaires des
personnels civils de l'État ;
Vu le
décret n°2007-658 du 2
mai 2007 relatif au
cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de droit
public et des ouvriers des établissements industriels de l'État ;
Entre les soussignés :
L’XX (nom de l’administration) représenté par XXX (nom du représentant et
qualité),
D’une part,
Monsieur [Madame] XX Né le XX à
………… Demeurant : XX
De nationalité française [ou autre]
D’autre part,
Il a été convenu ce
qui suit :
Considérant que, conformément
aux dispositions
de l'article
6 de la
loi du 11
janvier 1984
susvisée, un agent contractuel peut
être recruté pour occuper un
emploi correspondant à un besoin permanent à temps incomplet d’une durée
n’excédant pas 70% d’un service à temps complet.
Article 1er
Monsieur [Madame]
XX est engagé en qualité
d’agent contractuel
au titre
de l’article
6 de
la loi du
11 janvier 1984
susvisée, pour une
durée hebdomadaire de
................. h ; Le
contrat en
conclu pour
une durée déterminée de de
… (3 ans maximum,
renouvelable dans la limite de 6
ans) [ou pour
une durée indéterminée],
pour accomplir les fonctions suivantes :
Le contrat
prend effet le XX. Il
est soumis à
l’ensemble des dispositions du
décret du 17
janvier 1986 susvisé.
Article 2
Pendant la durée du présent
contrat, Monsieur
[Madame] XX assure les fonctions « xx », de
catégorie hiérarchique « xx » auprès de l’XX (nom de l’administration).
La description
des fonctions exercées
fait l’objet
d’une fiche
annexée au
présent contrat.
Monsieur
[Madame] XX déclare avoir pris connaissance de son contenu.
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions sous l’autorité du xx (fonctions).
Monsieur [Madame] XX s’engage,
pendant la durée de ce contrat, à respecter les instructions et directives qui
pourront lui être
données par son supérieur hiérarchique, par le Directeur ou la personne
qu’il délègue à cet effet, et à se conformer aux règles régissant le
fonctionnement interne de l’administration.
Article 3
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions xx (adresse du lieu de travail).
L’intéressé pourra être
amené, dans le cadre de ses activités professionnelles et pour le bon
déroulement du service, à effectuer des déplacements de durée variable sur le
territoire métropolitain, en Outre-mer ou à
l’étranger. Tout déplacement
fera l’objet d’un ordre de
mission qui en fixera le
lieu, la durée et l’objet. Monsieur
[Madame] XX effectue les déplacements requis par sa fonction quelles
qu’en soit la fréquence et la durée.
Le remboursement des frais supportés à cette
occasion sera effectué, conformément aux
dispositions du décret
n°2006-781 du
3 juillet
2006 fixant
les conditions
et les
modalités de
règlement des
frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils
de l'État.
Article 4
Version 1 :
La rémunération de Monsieur
[Madame] XX est fixée par référence à un indice de la fonction publique. Elle
s’élève annuellement à XX €. Cette
dernière est versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de l’intéressé.
La rémunération se décompose comme suit :
- IB : XX, correspondant, à la date
d’entrée en vigueur du contrat, à
l’indice nouveau majoré
(INM) XX :
Ce montant est
indexé sur l’évolution de
la valeur du point fonction
publique et suit les évolutions de
la correspondance Indice brut/INM : XX x Valeur mensuelle du point
fonction publique = XX €, soit XX € bruts mensuels,
- Indemnité de
résidence : XX x
(taux applicable)
% =
XX €,
soit une rémunération
correspondant à XX € bruts mensuels,
À cette rémunération
s’ajoute, le
cas échéant, sur production
des pièces justificatives,
le supplément familial de
traitement ainsi que (le cas échéant) les primes suivantes (…).
Version 2 :
La rémunération brute globale de
Monsieur [Madame] XX est
égale à XX euros par an,
soit compte tenu des taux de
cotisation en vigueur
à la date de
signature du contrat, une
rémunération nette mensuelle
de XX euros. Cette dernière est
versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de
l’intéressé.
La rémunération fixée ci-dessus est exclusive de
tout autre
indemnité, sous réserve du
versement des indemnités représentatives de
frais en tant
qu’elles correspondent à des
dépenses réelles et dès lors
qu’elles sont prévues par un texte
réglementaire.
Cette rémunération représente la
contrepartie forfaitaire de
l’activité exercée par Monsieur
[Madame] XX, incluant
notamment d’éventuels dépassements
d’horaires inhérents
à la
nature des fonctions
et des responsabilités
exercées.
La rémunération est susceptible d’être réévaluée au
vu notamment de l’évaluation
professionnelle ou de l’évolution
des fonctions
dans les
conditions fixées
par l’article
1-3 du
décret du
17 janvier
1986
(réévaluation de la rémunération
des agents en CDI au
minimum tous les trois ans / réévaluation de
la rémunération des agents
en CDD
au moins
tous les trois
ans sous réserve que cette
durée ait été effectuée de
manière continue auprès du même employeur).
Article 5 (pour les seuls CDD)
À l’issue de la
période prévue à
l’article 1er,
le présent contrat
peut éventuellement
faire l’objet
d’un renouvellement sous réserve des dispositions législatives qui lui
sont applicables L’XX (nom de
l’administration) notifie à l’intéressé, par courrier, son intention de
renouveler ou non l’engagement au plus tard
[XXX –
cf. article 45 du
décret du 17
janvier 1986 –
variation en fonction de
la durée du CDD]. Monsieur
[Madame] XX dispose d'un délai de 8 jours pour faire connaître le cas
échéant, son acceptation. En cas
d’absence de réponse dans ce délai, le co-contractant est présumé renoncer à son
emploi.
Ce renouvellement fait l’objet d’un avenant au présent contrat.
Article 6
Le présent contrat ne
devient définitif
qu’à l’issue
d’une période
d’essai[iii]
fixée à
XX mois (article
9 du décret du 17
janvier 1986).
Cette période
est éventuellement
renouvelable une
fois, pour
une même période, par voie
d’accord écrit, à l’initiative de l’une ou l’autre des parties. Durant
cette période, la rupture du
contrat par l’administration
s’effectue sans préavis ni indemnité. Cette
rupture est notifiée à
l’autre partie par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Monsieur [Madame] XX s’engage,
durant cette
période, à fournir l’ensemble des documents nécessaires à la constitution
de son dossier administratif.
Article 7
Le cas
échéant, Monsieur
[Madame] fournit
les certificats
de travail
attestant de
son ancienneté de services
publics, délivrés en application de
l’article 44-1 du
décret du 17 janvier 1986,
lorsqu’il a déjà été recruté par une
administration.
Article 8
Monsieur [Madame] XX
bénéficie, compte tenu de la
durée de service effectuée, d’un congé annuel, dont la durée et
les conditions d’attribution sont
identiques à celles des
congés annuels des fonctionnaires prévues par le décret n°84-972 du 26 octobre
1984 relatif aux congés annuels des
fonctionnaires de l’État.
Ces congés sont pris après accord du supérieur hiérarchique, compte tenu des
nécessités du service.
Si l’agent n'a pas pu bénéficier de
ses droits à congés annuels, du fait de
l'administration, il percevra une indemnité compensatrice égale au
1/10ème de sa rémunération brute
totale.
Article 9
Dans l’exercice
de ses fonctions,
l’intéressé est
soumis aux
droits et
obligations tenu
de respecter
l’ensemble des obligations prévues au titre Ier du statut
général des fonctionnaires et à celles prévues par le
décret du 17 janvier 1986
susvisé. En cas de
manquement à ces obligations, Monsieur
[Madame] XX s’expose aux sanctions disciplinaires prévues par ce même
décret.
Monsieur [Madame]
XX s’engage notamment à
respecter la réglementation
relative au
cumul d’activités fixé par
le décret n°2007-658 du 2 mai 2007
relatif au cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires
de droit
public et
des ouvriers des
établissements industriels
de l'État
et à
n’exercer aucune activité
dans une autre
Administration, Institution,
Collectivité, ou
Société, sans information
et le
cas échéant, l’autorisation du Directeur de l’XX (nom de
l’administration).
Monsieur [Madame] XX s’engage
également à respecter les règles relatives au
départ des agents publics vers le secteur privé fixées notamment à
l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983 susvisée.
Article 10
Tout arrêt de
travail pour cause de
maladie doit être signalé
par l’intéressé au
Directeur de l’XX (nom
de l’administration), et la prescription médicale transmise à l’employeur
dans les 48 heures.
Article 11
Pour ce
qui concerne la
couverture sociale, Monsieur
[Madame] XX est
soumis au
régime général
de la sécurité sociale,
conformément aux dispositions du
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Pour ce
qui concerne la
retraite complémentaire,
il est
affilié au
régime de
retraite complémentaire
des agents non titulaires de l’État, géré
par l’IRCANTEC.
Article 12
Monsieur [Madame]
XX doit déclarer s’il [si
elle] est lié(e)
à un
autre employeur.
L’intéressé s’engage à faire
connaître sans délai, tout changement de situation le concernant.
Article 13
Le présent
contrat peut
être rompu
à l’initiative
de l’une
ou l’autre
des parties, conformément
aux dispositions réglementaires en vigueur,
notamment le
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
1) Licenciement
Monsieur [Madame]
XX ne peut
être licencié(e)
qu’après respect du
préavis mentionné
à l’article
46 du
décret du 17 janvier 1986
susvisé et avis de la commission consultative paritaire (CCP) compétente.
L'attribution du
préavis tel
que déterminé
ci-dessus est
toutefois conditionnée
par l'application
des dispositions de la réglementation en vigueur au moment de la rupture
du contrat.
Il en est fait de même pour l'attribution de l'indemnité de licenciement.
Le licenciement est notifié par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception.
2) Démission
Monsieur [Madame]
XX devra le
cas échéant, informer
l’autorité administrative
de son
intention de démissionner
par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception
en respectant le préavis fixé à
l’article 48 du
décret du 17 janvier 1986.
Article 14
L’administration délivre à Monsieur
[Madame] XX, à la fin du
contrat, un
certificat administratif attestant, conformément
à l’article
44-1 du
décret du
17 janvier
1986, la
durée des services
publics effectifs accomplis,
la description des fonctions exercées, la catégorie hiérarchique dont
elles relèvent et la durée pendant laquelle elles ont été effectivement
exercées, le cas échéant les périodes de congés non assimilés à des périodes de
travail effectifs.
Article 15
Tous litiges soulevés par le présent contrat
relèvent de la juridiction administrative dans le respect du délai de
recours de deux mois.
Fait, à Paris, en trois exemplaires originaux, dont un est remis à l’intéressé,
le
Le directeur de l’XX (nom de l’administration)
Signature de de l’intéressé(e) (précédée de la mention « lu et approuvé
»)
Visa du contrôleur d’État
CONTRAT A DUREE DETERMINEE REMPLACEMENT D’UN TITULAIRE OU D’UN CONTRACTUEL
Vu
la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983
modifiée, portant droits et
obligations des fonctionnaires, ensemble
la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984
modifiée portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État,
notamment son article 6 quater;
Vu le
décret n° 86-83 du 17 janvier 1986
modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non
titulaires de l’État pris
pour l’application de
l’article 7
de
la loi n° 84-16 du
11 janvier 1984
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’État ;
Vu le
décret n° 85-1148 du
24 octobre 1985
modifié relatif à la
rémunération des personnels civils et militaires de l’État et des personnels des
collectivités territoriales ;
Nota : ce visa
n’est nécessaire que si la
rémunération est fixée en référence
à un indice de
la fonction publique.
Cela signifie que cette
rémunération évolue en fonction de l’évolution de la valeur du point d’indice.
Vu le
décret n° 2000-815 du 25 août 2000
modifié relatif à l'aménagement et à la réduction du temps de travail
dans la fonction publique de l'État ;
Vu le
décret n°2006-781 du 3
juillet 2006 fixant les
conditions et les modalités de
règlement des frais occasionnés par les déplacements temporaires des
personnels civils de l'État ;
Vu le décret n°2007-658 du 2
mai 2007 relatif au
cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de droit
public et des ouvriers des établissements industriels de l'État ;
Entre les soussignés :
L’XX (nom de l’administration) représenté par XXX (nom du représentant et
qualité),
D’une part,
Monsieur [Madame] XX Né le XX à
………… Demeurant : XX
De nationalité française [ou autre]
D’autre part,
Il a été convenu ce
qui suit :
Considérant qu'il
s'avère indispensable d'assurer le remplacement de
Monsieur
XX.............................. (nom
du titulaire
indisponible) autorisé(e)
à exercer ses
fonctions à
temps partiel(1)
OU en
congés annuels(1) OU en
congé de maladie(1) ou
en congé de
maternité ou pour
adoption (1) OU en
congé parental(1) OU en
congé de présence parental OU en
congés de solidarité
familiale(1) OU accomplissant le service
civil ou
national(1) OU rappelé(1)
OU maintenu sous les
drapeaux(1) OU participant à
des activités dans le
cadre des réserves opérationnelle,
de sécurité
civile ou
sanitaire ou
en raison
de tout autre
congé régulièrement octroyé
en application des dispositions
réglementaires applicables aux
agents contractuels de l'État(1).
(1)
Choisir le motif de l'indisponibilité
Article 1er
Monsieur [Madame] XX est
engagé en qualité d’agent
contractuel au titre de
l’article 6 quater de la loi
du 11 janvier
1984 susvisée,
pendant l'absence du
fonctionnaire ou
du contractuel
qu'il remplace,
pour accomplir les fonctions suivantes :
Le contrat prend
effet le XX et se termine le XX[iv]111.
Il est soumis à l’ensemble des dispositions du décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Article 2
Pendant la durée du présent
contrat, Monsieur
[Madame] XX assure les fonctions « xx », de
catégorie hiérarchique « xx » auprès de l’XX (nom de l’administration).
La description
des fonctions exercées
fait l’objet
d’une fiche
annexée au
présent contrat.
Monsieur
[Madame] XX déclare avoir pris connaissance de son contenu.
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions sous l’autorité du xx (fonctions).
Monsieur [Madame] XX s’engage,
pendant la durée de ce
contrat, à respecter à respecter les instructions et directives qui
pourront lui être
données par son
supérieur hiérarchique, par
le Directeur ou la personne qu’il
délègue à
cet effet,
et à
se conformer
aux règles
régissant le
fonctionnement interne
de l’administration.
Article 3
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions xx (adresse du lieu de travail).
L’intéressé pourra être
amené, dans le cadre de ses activités professionnelles et pour le bon
déroulement du service, à effectuer des déplacements de durée variable sur le
territoire métropolitain, en Outre-mer ou à
l’étranger. Tout déplacement
fera l’objet d’un ordre de
mission qui en fixera le
lieu, la durée et l’objet. Monsieur
[Madame] XX effectue les déplacements requis par sa fonction quelles
qu’en soit la fréquence et la durée.
Le remboursement des frais supportés à cette
occasion sera effectué, conformément aux
dispositions du décret
n°2006-781 du
3 juillet
2006 fixant
les conditions
et les
modalités de
règlement des
frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils
de l'État.
Article 4
Version 1 :
La rémunération de Monsieur
[Madame] XX est fixée par référence à un indice de la fonction publique. Elle
s’élève annuellement à XX €. Cette
dernière est versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de l’intéressé.
La rémunération se décompose comme suit :
- IB : XX, correspondant, à la date
d’entrée en vigueur du contrat, à
l’indice nouveau majoré
(INM) XX :
Ce montant est
indexé sur l’évolution de
la valeur du point fonction
publique et suit les évolutions de
la correspondance Indice brut/INM : XX x Valeur mensuelle du point
fonction publique = XX €, soit XX € bruts mensuels,
- Indemnité de
résidence : XX x
(taux applicable)%
= XX €,
soit une
rémunération correspondant à XX € bruts mensuels,
À cette rémunération
s’ajoute, le
cas échéant, sur production
des pièces justificatives,
le supplément familial de
traitement ainsi que (le cas échéant) les primes suivantes (…).
Version 2 :
La rémunération brute globale de
Monsieur [Madame] XX est
égale à XX euros par an,
soit compte tenu des taux de
cotisation en vigueur
à la date de
signature du contrat, une
rémunération nette mensuelle
de XX euros. Cette dernière est
versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de
l’intéressé.
La rémunération fixée ci-dessus est exclusive de
tout autre
indemnité, sous réserve du
versement des indemnités représentatives de
frais en tant
qu’elles correspondent à des
dépenses réelles et dès lors
qu’elles sont prévues par un texte
réglementaire.
Cette rémunération représente la
contrepartie forfaitaire de
l’activité exercée par Monsieur
[Madame] XX, incluant notamment d’éventuels dépassements d’horaires
inhérents à la nature des fonctions et inhérents à la nature des fonctions et
des responsabilités exercées.
Article 5 (pour les seuls CDD)
À l’issue de la
période prévue à
l’article 1er,
le présent contrat
peut éventuellement
faire l’objet
d’un renouvellement sous réserve des dispositions législatives qui lui
sont applicables.
L’XX (nom
de l’administration)
notifie à
l’intéressé, par
courrier, son
intention de
renouveler ou
non l’engagement au plus
tard [XXX – cf. article 45 du
décret du 17 janvier 1986
– variation en fonction de
la durée du CDD]. Monsieur
[Madame] XX dispose d'un délai de
8 jours pour faire connaître le cas échéant, son
acceptation. En
cas d’absence de
réponse dans ce délai,
le co-contractant est
présumé renoncer à son emploi.
Ce renouvellement fait l’objet d’un avenant au présent contrat.
Article 6
Le présent contrat ne
devient définitif qu’à
l’issue d’une période d’essai[v]112
fixée à XX mois. Cette
période est éventuellement
renouvelable une fois, pour une
même période, par voie
d’accord écrit, à l’initiative de l’une ou l’autre des parties. Durant
cette période, la rupture
du contrat par
l’administration s’effectue sans préavis ni indemnité. Cette
rupture est
notifiée à l’autre partie
par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Monsieur [Madame] XX s’engage,
durant cette
période, à fournir l’ensemble des documents nécessaires à la constitution
de son dossier administratif.
Article 7
Le cas
échéant, Monsieur
[Madame] fournit
les certificats
de travail
attestant de
son ancienneté de services
publics, délivrés en application de
l’article 44-1 du
décret du 17 janvier 1986,
lorsqu’il a déjà été recruté par une
administration.
Article 8
Monsieur [Madame] XX
bénéficie, compte tenu de la
durée de service effectuée, d’un congé annuel, dont la durée et
les conditions d’attribution sont
identiques à celles des
congés annuels des fonctionnaires prévues par le décret n°84-972 du 26 octobre
1984 relatif aux congés annuels des
fonctionnaires de l’État.
Ces congés sont pris après accord du supérieur hiérarchique, compte tenu des
nécessités du service.
Si l’agent n'a pas pu bénéficier de
ses droits à congés annuels, du fait de
l'administration, il percevra une indemnité compensatrice égale au
1/10ème de sa rémunération brute
totale.
Article 9
Dans l’exercice de ses fonctions, l’intéressé est soumis aux droits et
obligations prévus au titre Ier du statut général
des fonctionnaires et
à celles
prévues par le
décret du 17
janvier 1986
susvisé. En cas de
manquement à ces obligations, Monsieur
[Madame] XX s’expose aux sanctions disciplinaires prévues par ce même
décret.
Monsieur [Madame]
XX s’engage notamment à
respecter la réglementation
relative au
cumul d’activités fixé par
le décret n°2007-658 du 2 mai 2007
relatif au cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de
droit public et des ouvriers
des établissements industriels de
l'État et
à n’exercer aucune activité
dans une autre
Administration, Institution,
Collectivité, ou
Société, sans information
et le
cas échéant, l’autorisation du Directeur de l’XX (nom de
l’administration).
Monsieur [Madame] XX s’engage
également à respecter les règles relatives au
départ des agents publics vers le secteur privé fixées notamment à
l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983 susvisée.
Article 10
Tout arrêt de
travail pour cause de
maladie doit être signalé
par l’intéressé au
Directeur de l’XX (nom
de l’administration), et la prescription médicale transmise à l’employeur
dans les 48 heures.
Article 11
Pour ce
qui concerne la couverture sociale, Monsieur
[Madame] XX est soumis au
régime général de la
sécurité sociale, conformément aux dispositions du
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Pour ce
qui concerne la retraite complémentaire, il
est affilié au
régime de retraite
complémentaire des agents non titulaires de l’État, géré
par l’IRCANTEC.
Article 12
Monsieur [Madame]
XX doit déclarer s’il [si
elle] est lié(e)
à un
autre employeur.
L’intéressé s’engage à faire
connaître sans délai, tout changement de situation le concernant.
Article 13
Le présent
contrat peut
être rompu
à l’initiative
de l’une
ou l’autre
des parties, conformément
aux dispositions réglementaires en vigueur,
notamment le
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
1) Licenciement
Monsieur [Madame]
XX ne peut
être licencié(e)
qu’après respect du
préavis mentionné
à l’article
46 du
décret du 17 janvier 1986
susvisé et avis de la commission consultative paritaire (CCP) compétente.
L'attribution du
préavis tel
que déterminé
ci-dessus est
toutefois conditionnée
par l'application
des dispositions de la réglementation en vigueur au moment de la rupture
du contrat.
Il en est fait de même pour l'attribution de l'indemnité de licenciement.
Le licenciement est notifié par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception.
2) Démission
Monsieur [Madame]
XX devra le
cas échéant, informer
l’autorité administrative
de son
intention de démissionner
par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception
en respectant le préavis fixé à
l’article 48 du
décret du 17 janvier 1986.
Article 14
L’administration délivre à Monsieur
[Madame] XX, à la fin du
contrat, un
certificat administratif attestant, conformément
à l’article
44-1 du
décret du
17 janvier
1986, la
durée des services
publics effectifs accomplis,
la description des fonctions exercées, la catégorie hiérarchique dont
elles relèvent et la durée pendant laquelle elles ont été effectivement
exercées, le cas échéant les périodes de congés non assimilés à des périodes de
travail effectifs.
Article 15
Tous litiges soulevés par le présent contrat
relèvent de la juridiction administrative dans le respect du délai de
recours de deux mois.
Fait, à Paris, en trois exemplaires originaux, dont un est remis à l’intéressé,
le
Le directeur de l’XX (nom de l’administration)
Signature de de l’intéressé(e) (précédée de la mention « lu et approuvé
»)
Visa du contrôleur d’État
CONTRAT A DUREE DETERMINEE POUR FAIRE FACE A UNE VACANCE TEMPORAIRE D'EMPLOI
DANS L'ATTENTE DU RECRUTEMENT D'UN
FONCTIONNAIRE
Vu
la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983
modifiée, portant droits et
obligations des fonctionnaires, ensemble
la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984
modifiée portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État,
notamment son article 6 quinquies ;
Vu le
décret n° 86-83 du 17 janvier 1986
modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non
titulaires de l’État pris
pour l’application de
l’article 7
de
la loi n° 84-16 du
11 janvier 1984
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’État ;
Vu le
décret n° 85-1148 du
24 octobre 1985
modifié relatif à la
rémunération des personnels civils et militaires de l’État et des personnels des
collectivités territoriales ;
Nota : ce visa
n’est nécessaire que si la
rémunération est fixée en référence
à un indice de
la fonction publique.
Cela signifie que cette
rémunération évolue en fonction de l’évolution de la valeur du point d’indice.
Vu le
décret n° 2000-815 du 25 août 2000
modifié relatif à l'aménagement et à la réduction du temps de travail
dans la fonction publique de l'État ;
Vu le
décret n°2006-781 du 3
juillet 2006 fixant les
conditions et les modalités de
règlement des frais occasionnés par les déplacements temporaires des
personnels civils de l'État ;
Vu le
décret n°2007-658 du 2
mai 2007 relatif au
cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de droit
public et des ouvriers des établissements industriels de l'État ;
Entre les soussignés :
L’XX (nom de l’administration) représenté par XXX (nom du représentant et
qualité),
D’une part,
Monsieur [Madame] XX Né le XX à
………… Demeurant : XX
De nationalité française [ou autre]
D’autre part,
Il a été convenu ce
qui suit :
Considérant qu'il s'avère indispensable de
faire face temporairement et
pour une
durée de …...............
(durée maximale de
1 an,
renouvelable une
fois dans la
limite de
2 ans maximum)
à la
vacance d'un emploi de …...................... qui ne peut
être immédiatement pourvu
dans les conditions prévues par la loi,
Article 1er
Monsieur [Madame] XX est
engagé en qualité d’agent
contractuel au titre de
l’article 6 quinquies de la
loi du 11
janvier 1984 susvisée, à
temps complet (ou à
raison de ….h …. par
semaine) pour accomplir les
fonctions suivantes
:
…..........................................Le
contrat conclu
pour une
durée déterminée (durée
maximale prévue par l’article
6 quinquies de
la loi du 11 janvier 1984
: au plus 1 an
renouvelable 1 fois) prend
effet le XX. Il est soumis à l’ensemble des dispositions du
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Article 2
Pendant la durée du présent
contrat, Monsieur
[Madame] XX assure les fonctions « xx », de
catégorie hiérarchique « xx » auprès de l’XX (nom de l’administration).
La description
des fonctions exercées
fait l’objet
d’une fiche
annexée au
présent contrat.
Monsieur
[Madame] XX déclare avoir pris connaissance de son contenu.
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions sous l’autorité du xx (fonctions).
Monsieur [Madame] XX s’engage,
pendant la durée de ce
contrat, à respecter à respecter les instructions et directives qui
pourront lui être
données par son
supérieur hiérarchique, par
le Directeur ou la personne qu’il
délègue à
cet effet,
et à
se conformer
aux règles
régissant le
fonctionnement interne
de l’administration.
Article 3
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions xx (adresse du lieu de travail).
L’intéressé pourra être
amené, dans le cadre de ses activités professionnelles et pour le bon
déroulement du service, à effectuer des déplacements de durée variable sur le
territoire métropolitain, en Outre-mer ou à
l’étranger. Tout déplacement
fera l’objet d’un ordre de
mission qui en fixera le
lieu, la durée et l’objet. Monsieur
[Madame] XX effectue les déplacements requis par sa fonction quelles
qu’en soit la fréquence et la durée.
Le remboursement des frais supportés à cette
occasion sera effectué, conformément aux
dispositions du décret
n°2006-781 du
3 juillet
2006 fixant
les conditions
et les
modalités de
règlement des
frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils
de l'État.
Article 4
Version 1 :
La rémunération de Monsieur
[Madame] XX est fixée par référence à un indice de la fonction publique. Elle
s’élève annuellement à XX €. Cette
dernière est versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de l’intéressé.
La rémunération se décompose comme suit :
- IB : XX, correspondant, à la date
d’entrée en vigueur du contrat, à
l’indice nouveau majoré
(INM) XX :
Ce montant est
indexé sur l’évolution de
la valeur du point fonction
publique et suit les évolutions de
la correspondance Indice brut/INM : XX x Valeur mensuelle du point
fonction publique = XX €, soit XX € bruts mensuels,
- Indemnité de
résidence : XX x
(taux applicable)
% =
XX €,
soit une rémunération
correspondant à XX € bruts mensuels,
À cette rémunération
s’ajoute, le
cas échéant, sur production
des pièces justificatives,
le supplément familial de
traitement ainsi que (le cas échéant) les primes suivantes (…).
Version 2 :
La rémunération brute globale de
Monsieur [Madame] XX est
égale à XX euros par an,
soit compte tenu des taux de
cotisation en vigueur
à la date de
signature du contrat, une
rémunération nette mensuelle
de XX euros. Cette dernière est
versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de
l’intéressé.
La rémunération fixée ci-dessus est exclusive de
tout autre
indemnité, sous réserve du
versement des indemnités représentatives de
frais en tant
qu’elles correspondent à des
dépenses réelles et dès lors
qu’elles sont prévues par un texte
réglementaire.
Cette rémunération représente la
contrepartie forfaitaire de
l’activité exercée par Monsieur
[Madame] XX, incluant notamment d’éventuels dépassements d’horaires
inhérents à la nature des fonctions et inhérents à la nature des fonctions et
des responsabilités exercées.
Article 5 (pour les seuls CDD)
À l’issue de la
période prévue à
l’article 1er,
le présent contrat
peut éventuellement
faire l’objet
d’un renouvellement sous réserve des dispositions législatives qui lui
sont applicables.
L’XX (nom
de l’administration)
notifie à
l’intéressé, par
courrier, son
intention de
renouveler ou
non l’engagement au plus
tard [XXX – cf. article 45 du
décret du 17 janvier 1986
– variation en fonction de
la durée du CDD]. Monsieur
[Madame] XX dispose d'un délai de
8 jours pour faire connaître le cas échéant, son
acceptation. En
cas d’absence de
réponse dans ce délai,
le co-contractant est
présumé renoncer à son emploi.
Ce renouvellement fait l’objet d’un avenant au présent contrat.
Article 6
Le présent contrat ne devient
définitif qu’à l’issue d’une période d’essai[vi]113
fixée à XX mois (article 9
décret du 17 janvier 1986).
Cette période est
éventuellement renouvelable une
fois, pour une même période,
par voie d’accord écrit, à l’initiative de
l’une ou l’autre des parties. Durant
cette période, la rupture
du contrat par l’administration s’effectue sans préavis ni indemnité.
Cette rupture
est notifiée à l’autre
partie par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Monsieur [Madame] XX s’engage,
durant cette
période, à fournir l’ensemble des documents nécessaires à la constitution
de son dossier administratif.
Article 7
Le cas
échéant, Monsieur
[Madame] fournit
les certificats
de travail
attestant de
son ancienneté de services
publics, délivrés en application de
l’article 44-1 du
décret du 17 janvier 1986,
lorsqu’il a déjà été recruté par une
administration.
Article 8
Monsieur [Madame] XX bénéficie,
compte tenu de
la durée de service
effectuée, d’un congé annuel, dont la durée et
les conditions d’attribution sont
identiques à celles des
congés annuels des fonctionnaires prévues par le décret n°84-972 du 26 octobre
1984 relatif aux congés annuels des
fonctionnaires de l’État.
Ces congés sont pris après accord du supérieur hiérarchique, compte tenu des
nécessités du service.
Si l’agent n'a pas pu bénéficier de
ses droits à congés annuels, du fait de
l'administration, il percevra une indemnité compensatrice égale au
1/10ème de sa rémunération brute
totale.
Article 9
Dans l’exercice de
ses fonctions, l’intéressé
est soumis
aux droits
et obligations
prévues au titre
Ier du statut
général des fonctionnaires et à celles prévues par
le
décret du 17 janvier 1986
susvisé. En cas de manquement à ces obligations, Monsieur
[Madame] XX s’expose aux sanctions disciplinaires prévues par ce même
décret.
Monsieur [Madame]
XX s’engage notamment à
respecter la réglementation
relative au
cumul d’activités fixé par
le décret n°2007-658 du 2 mai 2007
relatif au cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de
droit public et des ouvriers
des établissements industriels de
l'État et
à n’exercer aucune activité
dans une autre
Administration, Institution,
Collectivité, ou
Société, sans information
et le
cas échéant, l’autorisation du Directeur de l’XX (nom de
l’administration).
Monsieur [Madame] XX s’engage
également à respecter les règles relatives au
départ des agents publics vers le secteur privé fixées notamment à
l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983 susvisée.
Article 10
Tout arrêt de
travail pour cause de
maladie doit être signalé
par l’intéressé au
Directeur de l’XX (nom
de l’administration), et la prescription médicale transmise à l’employeur
dans les 48 heures.
Article 11
Pour ce
qui concerne la
couverture sociale, Monsieur
[Madame] XX est
soumis au
régime général
de la sécurité sociale,
conformément aux dispositions du
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Pour ce
qui concerne la
retraite complémentaire,
il est
affilié au
régime de
retraite complémentaire
des agents non titulaires de l’État, géré
par l’IRCANTEC.
Article 12
Monsieur [Madame]
XX doit déclarer s’il [si
elle] est lié(e)
à un
autre employeur.
L’intéressé s’engage à faire
connaître sans délai, tout changement de situation le concernant.
Article 13
Le présent
contrat peut
être rompu
à l’initiative
de l’une
ou l’autre
des parties, conformément
aux dispositions réglementaires en vigueur,
notamment le
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
1) Licenciement
Monsieur [Madame]
XX ne peut
être licencié(e)
qu’après respect du
préavis mentionné
à l’article
46 du
décret du 17 janvier 1986
susvisé et avis de la commission consultative paritaire compétente (CCP).
L'attribution du
préavis tel
que déterminé
ci-dessus est
toutefois conditionnée
par l'application
des dispositions de la réglementation en vigueur au moment de la rupture
du contrat.
Il en est fait de même pour l'attribution de l'indemnité de licenciement.
Le licenciement est notifié par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception.
2) Démission
Monsieur [Madame]
XX devra le
cas échéant, informer
l’autorité administrative
de son
intention de démissionner
par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception
en respectant le préavis fixé à
l’article 48 du
décret du 17 janvier 1986.
Article 14
L’administration délivre à Monsieur
[Madame] XX, à la fin du
contrat, un
certificat administratif attestant, conformément
à l’article
44-1 du
décret du
17 janvier
1986, la
durée des services
publics effectifs accomplis,
la description des fonctions exercées, la catégorie hiérarchique dont
elles relèvent et la durée pendant laquelle elles ont été effectivement
exercées, le cas échéant les périodes de congés non assimilés à des périodes de
travail effectifs.
Article 15
Tous litiges soulevés par le présent contrat
relèvent de la juridiction administrative dans le respect du délai de
recours de deux mois.
Fait, à Paris, en trois exemplaires originaux, dont un est remis à l’intéressé,
le
Le directeur de l’XX (nom de l’administration)
Signature de de l’intéressé(e) (précédée de la mention « lu et approuvé
»)
Visa du contrôleur d’État
ACCROISSEMENT TEMPORAIRE OU SAISONNIER D'ACTIVITE
CONTRAT
Vu
la loi n° 83-634 du 13 juillet 1983
modifiée, portant droits et
obligations des fonctionnaires, ensemble la
loi n° 84-16 du 11 janvier 1984
modifiée portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État,
notamment son article 6 sexies ;
Vu le
décret n° 86-83 du 17 janvier 1986
modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents non
titulaires de l’État pris
pour l’application de
l’article 7
de
la loi n° 84-16 du
11 janvier 1984
portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de
l’État ;
Vu le
décret n° 85-1148 du
24 octobre 1985
modifié relatif
à la
rémunération des personnels
civils et militaires de
l’État et des personnels des collectivités territoriales ;
Nota : ce visa
n’est nécessaire que si
la rémunération est fixée en
référence à un indice de
la fonction publique.
Cela signifie que cette
rémunération évolue en fonction de l’évolution de la valeur du point d’indice.
Vu le
décret n° 2000-815 du 25 août 2000
modifié relatif à l'aménagement et à la réduction du temps de travail
dans la fonction publique de l'État ;
Vu le
décret n°2006-781 du 3
juillet 2006
fixant les
conditions et
les modalités
de règlement
des frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels
civils de l'État ;
Vu le
décret n°2007-658 du 2
mai 2007
relatif au
cumul d'activités
des fonctionnaires, des
agents non titulaires de droit public et des ouvriers des établissements
industriels de l'État ;
Entre les soussignés :
L’XX (nom de l’administration) représenté par XXX (nom du représentant et
qualité),
D’une part,
Monsieur [Madame] XX Né le XX à
………… Demeurant : XX
De nationalité française [ou autre]
D’autre part,
Considérant l’accroissement
temporaire d’activité, (activité
inhabituelle par
rapport à
l’activité normale de
l’administration telle
que les
variations cycliques
de l’activité
du service ou
les tâches précisément
définies et non durables, s’ajoutant temporairement à une
activité permanente).
Ou
Considérant l’accroissement saisonnier d’activité (correspond aux cas de travaux
appelés à se répéter chaque année, à date
à peu près fixe, en fonction
du rythme des saisons ou des modes
de vie collectifs).
Il a été convenu ce
qui suit :
Article 1er
Monsieur [Madame] XX est
engagé en qualité d’agent
contractuel au titre de
l’article 6 sexies de la loi
du 11 janvier 1984
susvisée pour une
durée de
…............................... (pour
un accroissement temporaire
: durée maximale
de 12
mois sur
une période
de 18
mois/ pour
un accroissement
saisonnier durée maximale de
6 mois sur 12 mois), à temps complet ou incomplet (...h... / semaine).
Il prend effet le XX et prend
fin le XX. Il est soumis à
l’ensemble des dispositions du décret du 17 janvier 1986 susvisé.
Article 2
Pendant la durée du présent
contrat, Monsieur
[Madame] XX assure les fonctions « xx »,
de catégorie hiérarchique «
xx » auprès de l’XX (nom de l’administration).
La description
des fonctions exercées
fait l’objet
d’une fiche
annexée au
présent contrat.
Monsieur
[Madame] XX déclare avoir pris connaissance de son contenu.
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions sous l’autorité du xx (fonctions).
Monsieur [Madame] XX s’engage,
pendant la durée de ce
contrat, à respecter à respecter les instructions et directives qui
pourront lui être
données par son
supérieur hiérarchique, par
le Directeur ou la personne qu’il
délègue à
cet effet,
et à
se conformer
aux règles
régissant le
fonctionnement interne
de l’établissement.
Article 3
Monsieur [Madame] XX exerce ses
fonctions xx (adresse du lieu de travail).
L’intéressé pourra être
amené, dans le cadre de ses activités professionnelles et pour le bon
déroulement du service, à effectuer des déplacements de durée variable sur le
territoire métropolitain, en Outre-mer ou à
l’étranger. Tout déplacement
fera l’objet d’un ordre de
mission qui en fixera le
lieu, la durée et l’objet. Monsieur
[Madame] XX effectue les déplacements
requis par sa fonction quelles qu’en soit la fréquence et la durée.
Le remboursement des frais supportés à cette
occasion sera effectué, conformément aux
dispositions du décret
n°2006-781 du
3 juillet
2006 fixant
les conditions
et les
modalités de
règlement des
frais occasionnés par les déplacements temporaires des personnels civils
de l'État.
Article 4
Version 1 :
La rémunération de Monsieur
[Madame] XX est fixée par référence à un indice de la fonction publique. Elle
s’élève annuellement à XX €. Cette
dernière est versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de l’intéressé.
La rémunération se décompose comme suit :
- IB : XX, correspondant, à la date
d’entrée en vigueur du contrat, à
l’indice nouveau majoré
(INM) XX :
Ce montant est
indexé sur l’évolution de
la valeur du point fonction
publique et suit les évolutions de
la correspondance Indice brut/INM : XX x Valeur mensuelle du point
fonction publique = XX €, soit XX € bruts mensuels,
- Indemnité de
résidence : XX x
(taux applicable)
% =
XX €,
soit une rémunération
correspondant à XX € bruts mensuels,
À cette rémunération
s’ajoute, le
cas échéant, sur production
des pièces justificatives,
le supplément familial de
traitement ainsi que (le cas échéant) les primes suivantes (…).
Version 2 :
La rémunération brute globale de
Monsieur [Madame] XX est
égale à XX euros par an,
soit compte tenu des taux de
cotisation en vigueur
à la date de
signature du contrat, une
rémunération nette mensuelle
de XX euros. Cette dernière est
versée au prorata de
la durée effective du contrat
et du temps de travail de
l’intéressé.
La rémunération fixée ci-dessus est exclusive de
tout autre
indemnité, sous réserve du
versement des indemnités représentatives de
frais en tant
qu’elles correspondent à des
dépenses réelles et dès lors
qu’elles sont prévues par un texte
réglementaire.
Cette rémunération représente la
contrepartie forfaitaire de l’activité
exercée par Monsieur
[Madame] XX, incluant notamment d’éventuels dépassements d’horaires
inhérents à la nature des fonctions et inhérents à la nature des fonctions et
des responsabilités exercées.
Article 5 (pour les seuls CDD)
À l’issue de la
période prévue à
l’article 1er,
le présent contrat
peut éventuellement
faire l’objet
d’un renouvellement sous réserve des dispositions législatives qui lui
sont applicables L’XX (nom de
l’administration) notifie à l’intéressé, par courrier, son intention de
renouveler ou non l’engagement au plus tard
[XXX –
cf. article 45 du
décret du 17
janvier 1986 –
variation en fonction de
la durée du CDD]. Monsieur
[Madame] XX dispose d'un délai de 8 jours pour faire connaître le cas
échéant, son acceptation. En cas
d’absence de réponse dans ce délai, le co-contractant est présumé renoncer à son
emploi.
Ce renouvellement fait l’objet d’un avenant au présent contrat.
Article 6
Le présent contrat ne
devient définitif
qu’à l’issue
d’une période
d’essai[vii]114
fixée à
XX mois (article
9 du décret du 17
janvier 1986).
Cette période
est éventuellement
renouvelable une
fois, pour
une même période, par voie
d’accord écrit, à l’initiative de l’une ou l’autre des parties. Durant
cette période, la rupture du
contrat par l’administration
s’effectue sans préavis ni indemnité. Cette
rupture est notifiée à
l’autre partie par lettre recommandée avec
accusé de réception.
Monsieur [Madame] XX s’engage,
durant cette
période, à fournir l’ensemble des documents nécessaires à la constitution
de son dossier administratif.
Article 7
Le cas
échéant, Monsieur
[Madame] fournit
les certificats
de travail
attestant de
son ancienneté de services
publics, délivrés en application de
l’article 44-1 du
décret du 17 janvier 1986,
lorsqu’il a déjà été recruté par une
administration.
Article 8
Monsieur [Madame] XX
bénéficie, compte tenu de la
durée de service effectuée, d’un congé annuel, dont la durée et
les conditions d’attribution sont
identiques à celles des
congés annuels des fonctionnaires prévues par le décret n°84-972 du 26 octobre
1984 relatif aux congés annuels des
fonctionnaires de l’État.
Ces congés sont pris après accord du supérieur hiérarchique, compte tenu des
nécessités du service.
Si l’agent n'a pas pu bénéficier de
ses droits à congés annuels, du fait de
l'administration, il percevra une indemnité compensatrice égale au
1/10ème de sa rémunération brute
totale.
Article 9
Dans l’exercice
de ses fonctions,
l’intéressé est
soumis aux
droits et
obligations tenu
de respecter
l’ensemble des obligations prévus au titre Ier du statut
général des fonctionnaires et à celles prévues par le décret du
17 janvier 1986
susvisé. En cas de
manquement à ces
obligations, Monsieur [Madame] XX
s’expose aux sanctions disciplinaires prévues par ce même décret.
Monsieur [Madame]
XX s’engage notamment à
respecter la réglementation
relative au
cumul d’activités fixé par
le décret n°2007-658 du 2 mai 2007
relatif au cumul d'activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de
droit public et des ouvriers
des établissements industriels de
l'État et
à n’exercer aucune activité
dans une autre
Administration, Institution,
Collectivité, ou
Société, sans information
et le
cas échéant, l’autorisation du Directeur de l’XX (nom de
l’administration).
Monsieur [Madame] XX s’engage
également à respecter les règles relatives au
départ des agents publics vers le secteur privé fixées notamment à
l’article 25 octies de la loi du 13 juillet 1983 susvisée.
Article 10
Tout arrêt de
travail pour cause de
maladie doit être signalé
par l’intéressé au
Directeur de l’XX (nom
de l’administration), et la prescription médicale transmise à l’employeur
dans les 48 heures.
Article 11
Pour ce
qui concerne la couverture sociale, Monsieur
[Madame] XX est soumis au
régime général de la
sécurité sociale, conformément aux dispositions du
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
Pour ce
qui concerne la retraite complémentaire, il
est affilié au
régime de retraite
complémentaire des agents non titulaires de l’État, géré
par l’IRCANTEC.
Article 12
Monsieur [Madame]
XX doit déclarer s’il [si
elle] est lié(e)
à un
autre employeur.
L’intéressé s’engage à faire
connaître sans délai, tout changement de situation le concernant.
Article 13
Le présent
contrat peut
être rompu
à l’initiative
de l’une
ou l’autre
des parties, conformément
aux dispositions réglementaires en vigueur,
notamment le
décret du 17 janvier 1986
susvisé.
1) Licenciement
Monsieur [Madame]
XX ne peut
être licencié(e)
qu’après respect du
préavis mentionné
à l’article
46 du
décret du 17 janvier 1986
susvisé et avis de la commission consultative paritaire (CCP) compétente.
L'attribution du
préavis tel
que déterminé
ci-dessus est
toutefois conditionnée
par l'application
des dispositions de la réglementation en vigueur au moment de la rupture
du contrat.
Il en est fait de même pour l'attribution de l'indemnité de licenciement.
Le licenciement est notifié par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception.
2) Démission
Monsieur [Madame]
XX devra le
cas échéant, informer
l’autorité administrative
de son
intention de démissionner
par lettre recommandée avec
demande d’avis de réception
en respectant le préavis fixé à
l’article 48 du
décret du 17 janvier 1986.
Article 14
L’administration délivre à Monsieur
[Madame] XX, à la fin du
contrat, un
certificat administratif attestant, conformément
à l’article
44-1 du
décret du
17 janvier
1986, la
durée des services
publics effectifs accomplis,
la description des fonctions exercées, la catégorie hiérarchique dont
elles relèvent et la durée pendant laquelle elles ont été effectivement
exercées, le cas échéant les périodes de congés non assimilés à des périodes de
travail effectifs.
Article 15
Tous litiges soulevés par le présent contrat
relèvent de la juridiction administrative dans le respect du délai de
recours de deux mois.
Fait, à Paris, en trois exemplaires originaux, dont un est remis à l’intéressé,
le
Le directeur de l’XX (nom de l’administration)
Signature de de l’intéressé(e) (précédée de la mention « lu et approuvé
»)
Visa du contrôleur d’État
[i]
Clause facultative (cf. article 9
décret du 17 janvier 1986
: possibilité de prévoir une période d’essai).
[ii]
Clause facultative (cf. article 9
décret du 17 janvier 1986
: possibilité de prévoir une période d’essai).
[iv]
Il est conseillé
de retenir la date
de fin
du congé
correspondant à celle de
l’arrêt de travail
initial ayant conduit
à lancer le recrutement.
Le juge administratif a considéré qu’il peut
être mis fin au
remplacement et ne pas renouveler le contrat
de l’intéressé, dès l’instant où
disparaît le
motif sur lequel
il était
fondé, par
exemple dès la
date de
fin du
congé de maladie
initial. Il
ne s'agit
pas là d'un
licenciement, peu importe
le fait que le
fonctionnaire remplacé ait été
réintégré ou non au terme
de cette période
mentionnée dans le contrat
(CAA Paris, 23 nov. 2000,
n°98PA04505).
Il convient de noter que,
bien que la
possibilité de conclure et renouveler des CDD pour des remplacements
temporaires soit justifiée par une
raison objective au sens du droit européen, le recours à des CDD
successifs ne doit pas être
abusif. Il incombe au juge, pour apprécier si le recours, à des contrats
à durée déterminée successifs présente un caractère abusif, de prendre
en compte l'ensemble des circonstances de fait qui lui sont soumises,
notamment la nature des fonctions exercées, le type d'organisme
employeur ainsi que le nombre et la durée cumulée des contrats en cause
(CE 20 mars 2015 n°371664 :
au cas d’espèce, les CDD successifs couvraient une
période de huit ans).
[v]
Clause facultative (cf. article 9
décret du 17 janvier 1986
: possibilité de prévoir une période d’essai).
[vi]
Clause facultative (cf. article 9
décret du 17 janvier 1986
: possibilité de prévoir une période d’essai).
[vii]
Clause facultative (cf. article 9
décret du 17 janvier 1986
: possibilité de prévoir une période d’essai).