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Avec le gouvernement : plus d’élèves =
moins d’enseignant·es et de personnels
administratifs ! |
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Les effectifs d’élèves augmentent, pas ceux
des enseignant·es. Alors que le ministre de
l’Éducation nationale vient d’annoncer la suppression de 1 800 postes de son
ministère sur le budget 2019, la CGT dénonce ces coupes et exige un service
public d’éducation nationale de qualité, avec la création de postes statutaires
en nombres suffisant. On
nous annonce l’ajout dans les services des enseignant·es
du second degré d’une heure supplémentaire imposée. Nous nous opposons à
cette mesure car elle augmente le temps de travail des enseignant·es,
pèse sur leur vie professionnelle et familiale, et est discriminante puisque
la rémunération par primes et heures supplémentaires creuse les écarts de
salaire déjà existants entre les femmes et les hommes. C’est les salaires
qu’il faut augmenter à commencer par le dégel de la valeur du point d’indice. Pour toutes ces raisons, nous appelons
les personnels à faire grève mardi 9 octobre ! |
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Dans les lycées professionnels : une 1ère
journée de grève réussie le 27 septembre, on continue le 9 octobre ! |
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L’intersyndicale
CGT Éduc’action- SNUEP FSU – SNEP FSU – SNALC – SUD Éducation – SNCL – SIES
FAEN - se félicite de la réussite de la journée de grève du 27 septembre dans
la voie professionnelle. Les personnels rejettent le projet de réforme de la
voie professionnelle imposé à marche forcée par le ministre, comme en
témoignent les 20 à 30 % de grévistes dans les établissements. Les
rassemblements et les manifestations qui se sont déroulés sur l'ensemble du
territoire ont été un succès. Ces chiffres sont d’autant plus impressionnants que le ministère n'a
révélé son projet réglementaire de grilles horaires qu'en début de semaine –
laissant aux organisations syndicales un délai très court pour informer,
échanger avec la profession. |
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Réforme territoriale : quelles conséquences pour
les personnels ? |
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Le gouvernement poursuit sa réforme territoriale à marche forcée, au 1er
janvier 2020 les 13 régions constitueront autant d’académies. Les académies
actuelles d’une même région seront fusionnées. Mais le but du ministère est
d’aller plus loin, en augmentant le rôle de ces académies régionales, allant
dans le sens d’une véritable régionalisation de l’éducation. Le rôle du
ministère se limitera à la ventilation des moyens aux académies des grandes
régions. Le recteur de ces nouvelles entités aura par conséquent une grande
latitude dans la définition de la politique éducative régionale. Les
conséquences en termes de fermetures d'écoles, de collèges, de lycées
généraux, technologiques et professionnels seront dramatiques. Cela conduira à une dégradation des conditions d’étude des élèves, des
conditions de travail de tous les personnels et à des mutations
fonctionnelles contraintes, à l'image de ce qui s'est passé dans les autres
services de l'État qui ont déjà subi la réforme territoriale. Le désengagement de l’État et la régionalisation de l’Éducation et des
personnels ne peuvent mener qu’à davantage d’inégalités dans l’accès au
Service public d’éducation et des jeunes aux qualifications. |
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Le 9 octobre, des enjeux pour tous les salarié·es ! |
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