http://www.cgteduc.fr/images/lettre_info_n_1/lettre_info_as/lettre_as_sept_2017/images/logo_cgt_educ.jpg

Lettre d’information

aux personnels administratifs et techniques 

 

La CGT, le syndicat de tous les personnels de l’Éducation nationale

 

Abandon des missions, privatisations,

austérité : ne nous laissons pas faire !!

Depuis la mise en place du gouvernement Macron, les coups pleuvent sur les têtes de l’ensemble des salarié·es.

Côté privé, la nouvelle loi travail remet en cause des années de conquêtes sociales: avec l’inversion de la hiérarchie des normes, elle enterre définitivement le code du travail qui devient désormais juridiquement inférieur à un accord d’entreprise ; elle facilite les licenciements et réduit leur indemnisation ; elle fusionne les institutions de représentation du personnel (IRP) ; elle généralise le CDI dit «de chantier» et réinstaure donc le travail à la tâche.

Les mauvais coups qui touchent le privé, sont, en cas de succès, souvent généralisés au secteur public. C’est pourquoi, nous, personnels de la Fonction publique, devons lutter aux côtés des salarié·es du privé contre cette nouvelle loi travail…  

 

Lire la suite de l’édito dans notre 6 pages spécial…

 

Arnaque pour les fonctionnaires ! Macron ne tient pas ses promesses 

Les fonctionnaires ne sont pas concerné·es par la suppression des cotisations mais subiront la hausse de la CSG. Macron avait promis pendant sa campagne un coup de pouce pour les fonctionnaires : « près de 500 euros supplémentaires nets par an pour un salaire de 2 200 euros nets par mois ». Finalement, il n’y aura aucun gain de pouvoir d’achat pour les agents publics. Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics, a annoncé la mise en place d’une simple indemnité compensatrice, sans aucune garantie de pérennité à ce jour…  

 

Lire la suite en page 2 de notre 6 pages spécial…

 

Plan Sauvadet à l’éducation nationale :

précaires un jour, précaires toujours !

Le plan Sauvadet, lancé en 2013, nous avait été vendu comme un grand plan de résorption de la précarité dans la Fonction publique au terme duquel il ne devait rester que très peu d’agent·es non titulaires. La session 2018 étant la dernière du plan Sauvadet, l’heure est donc au bilan. Celui que le ministère de l’éducation nationale a présenté le 7 septembre dernier est médiocre : en effet, il reste, au final, presque toujours autant de précaires à titulariser. Derrière les bonnes intentions affichées, le ministère alimente quotidiennement un vivier de personnels précaires corvéables et jetables à merci…

 

Lire la suite en page 3 de notre 6 pages spécial…

De l’évolution numérique de l’éducation nationale

Léducation nationale dispose d’une infrastructure numérique des plus complexes. Jusqu’ici, elle reposait sur une multiplicité d’infrastructures locales, hébergées notamment dans chaque rectorat. Il semble que la Direction du Numérique pour l’éducation (éducation nationale), épaulée par la direction interministérielle du numérique et du système d'information et de communication de l'État (DINSIC), s’oriente vers une mutation totale des infrastructures locales vers une superstructure interministérielle. Il est d’ores et déjà établit que quatre académies serviront de test dans ce dossier.

Cette centralisation des infrastructures a des conséquences pour toutes et tous les usager·ères et personnels de l’éducation nationale ! Dans l’état actuel des travaux, beaucoup d’interrogations restent en suspens…

 

Lire la suite en page 4 de notre 6 pages spécial…

 

Témoignages

Je suis adjointe administrative (ADJAENES) d’intendance en établissement, et j’exerce de nombreuses tâches diverses et variées. Je dois notamment prendre en charge les mandats, les droits constatés, les commandes, les appels des familles, effectuer la gestion administrative des agent·es etc..

Depuis la suppression du contrat aidé de l’intendance de mon établissement, je me suis vue contrainte à effectuer toutes les tâches dites exécutives qui revenaient auparavant à cette collègue en contrat aidé.

Si durant les premières semaines de la rentrée j’ai dû exercer les passages au self de 11h à 13h en contrôlant les cartes ou les codes/biométrie de plus de 500 élèves, j’ai, désormais, réussi à transférer cette tâche à la Vie Scolaire…

 

Lire la suite en page 5 de notre 6 pages spécial…

 

La CGT-Éduc’action revendique

- Aucun salaire brut mensuel inférieur à 2 250 euros (soit en net 1 800 euros) ;

- Un doublement minimum du traitement entre le début et la fin de carrière ;

- Retrait du RIFSEEP et intégration des primes et indemnités dans le salaire de base ;

- Une hausse de salaire immédiate pour toutes et tous de 400 €, soit l’équivalent de 90 points d’indice ;

- L’arrêt de toutes les suppressions de postes ;

- Un plan de titularisation des non titulaires sans condition de concours et de nationalité ;

- La création de postes nécessaires pour assurer nos missions et pallier les manques d'effectifs ;

- La transformation des emplois CUI en emplois statutaires de la Fonction publique et le réemploi immédiat des ancien.nes CUI ;  

- Le renforcement de la médecine de prévention et un réel plan de prévention des risques psychosociaux.

 

Lire la suite en page 6 de notre 6 pages spécial…

 

 

 

Adhérez

 

Nous suivre  http://www.cgteduc.fr/images/lettre_info_n_1/lettre_info_as/lettre_as_sept_2017/images/facebook_logoB.png  http://www.cgteduc.fr/images/lettre_info_n_1/lettre_info_as/lettre_as_sept_2017/images/twitter_logoB.png

 

Soutenez l’action de la CGT

 

Toute l’actualité sur notre site

 

 

 

 

 

 

 

 

Rejoignez-nous

 

 

www.cgteduc.fr