On pourrait se demander ce qui pousse la CGT-Éduc’action à se prononcer contre la loi d’orientation de V. Peillon, d’autant plus que les médias ont une fâcheuse tendance à déformer nos propos.
C’est en fait assez simple : il s’agit à la fois de ce qui est affirmé dans la loi (maintien d’un socle commun, régionalisation renforcée) et ce qui n’y est pas (donc qui ne remet pas en cause les réformes des précédents ministères : réformes du lycée général et technologique, généralisation du bac pro 3 ans). Cela revient de fait à accepter la concurrence entre personnels, disciplines, élèves et établissements...

 

Lire la suite dans notre 4 pages "Spécial" Autonomie dans les collèges et les lycées au format