A l'issue de la manifestation parisienne du 12 février 2013, une centaine de manifestants chantant quelques slogans devant le ministère de l’Éducation nationale sans faire preuve d'aucune violence ni agressivité, ont été aspergés de gaz lacrymogène. Ceci a entraîné un mouvement de foule, certains ont du être soignés et tous ont été choqués par cette attitude injustifiée des forces de l'ordre.

La CGT-Éduc'action dénonce l'usage de la force contre des manifestants venus simplement faire entendre leur revendications pour améliorer l'Éducation nationale.


Montreuil, le 13 février 2013