«Le 25 novembre : journée mondiale de lutte contre les violences sexistes et sexuelles faites aux femmes»

 

Un an après l’apparition du hashtag #balancetonporc à la fin du tweet d’une journaliste écoeurée par les paroles d’un directeur de chaine, qu’en est-il de la situation des victimes qui ont osé dénoncer, publiquement ou non, l’homme qui tentait d’abuser de son pouvoir et d’un lien de subordination ?


Si la parole s’est libérée à la suite de ce mouvement #metoo (préféré à sa version française peut-être plus maladroite), si les femmes se sont senties moins seules et isolées, nous ne pouvons que constater le tra-vail qui nous attend encore pour faire reconnaître les violences subies. « Les femmes veulent l’égalité salariale, et en plus elles voudraient être traitées comme n’importe quel collègue masculin? ! Mais où va le monde !!! » « Et que va devenir la légendaire galanterie à la française, si on n’a même plus le droit de se laisser inviter au restaurant ou qu’un homme nous tienne la porte ? » Non, vraiment, ces archaïsmes et ce mélange des genres n’aident pas.

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