Pour une prime d'équipement pour les CPE !
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Pour une prime d'équipement pour les CPE !
Les organisations syndicales SNES-FSU, SNUEP-FSU, UNSA, SGEN-CFDT, CGT Educ’action, SNALC exigent que le ministre intègre les CPE dans les bénéficiaires de la prime d’équipement informatique.
Le décret portant sur l’attribution d’une prime d’équipement informatique exclut les CPE du bénéfice de cette prime. Pour les organisations syndicales SNES-FSU, SNUEP-FSU, UNSA, Sgen-CFDT, CGT Educ’action, SNALC cela est inacceptable. Cette décision est incompréhensible. Elle est également vexatoire face aux économies de bouts de chandelles ainsi opérées. Elle méconnaît la réalité du métier de CPE et de leur travail.
Pour l’abandon immédiat des procédures disciplinaires engagées contre 3 enseignant-e-s du lycée Mauriac de Bordeaux.
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Pour l’abandon immédiat des procédures disciplinaires
engagées contre 3 enseignant-e-s du lycée Mauriac de Bordeaux.
Comme partout en France, en Gironde, des enseignant-e-s ont contesté la réforme du Bac, imposée à marche forcée, au mépris des avis des instances de concertation et dans la précipitation. De nombreux-ses enseignant-e-s ont répondu à l’appel intersyndical à s’opposer à cette réforme inégalitaire par la grève et d’autres actions syndicales dans de nombreux lycées de France.
En Gironde, 9 de ces enseignant-e-s de différents lycées du département ont reçu en février, la veille des vacances de printemps, un courrier de la rectrice les menaçant de sanction. En juin, l’un d’entre eux s’est vu barrer l’accès à la hors classe au nom de son « positionnement », c'est-à-dire pour s’être opposé au ministère en usant de ses droits syndicaux.
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Lycées Généraux et Technologiques 24 élèves maximum par classe Une nécessité !
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Lycées Généraux et Technologiques
24 élèves maximum par classe Une nécessité !
Des raisons sanitaires
Cette année, plus encore qu’auparavant, nos classes débordent, 35 élèves… parfois 36 ou plus. Dans le contexte d’épidémie que nous connaissons, ce n’est pas acceptable ! Comment entendre qu’on refuse des réunions à plus de 10 personnes mais qu’on laisse s’entasser 36 individus dans un environnement exigu et des salles parfois inadaptées… S’y rajoute la réforme du lycée qui fait éclater les groupes classes, multipliant les brassages. Il est urgent de retrouver plus d’espace dans nos classes ! Il est temps d’exiger des locaux permettant de travailler dans de bonnes conditions et une vraie vie lycéenne.
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Mobilisons-nous pour nos salaires, pour nos conditions de travail, pour les postes
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Mobilisons-nous pour nos salaires, pour nos conditions de travail, pour les postes :
exigeons la revalorisation et un autre budget pour l’Education !
Tout nous conduit à l’exigence de plus d’éducation pour tous les jeunes dans un contexte où les inégalités continuent à se creuser et où les réformes menées par le ministre les aggravent. Or, le Parlement a adopté un budget qui est loin de traduire l’ambition éducative dont notre pays a besoin. En effet, il ne prend pas la mesure de l’augmentation des effectifs, de la situation sanitaire qui impose particulièrement des mesures pour faire baisser les effectifs d’élèves par classe à court et moyen terme et de l’état de fatigue des personnels, épuisés par des années de dégradation des conditions de travail.
Il faut en urgence engager les recrutements nécessaires, notamment en recourant aux listes complémentaires.
Dans le budget 2021, la nécessaire revalorisation des personnels ne trouve qu’une traduction minimale avec 400 millions d’euros prévus. C’est très peu pour les personnels, et de fait l’essentiel des mesures proposées pour 2021 ne concerneront qu’une minorité de personnels. Les AED et les AESH en particulier ne se voient rien proposer.
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ÉDUCATION PRIORITAIRE Il y a urgence pour une autre politique Donnons plus à celles-ceux qui ont le moins
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ÉDUCATION PRIORITAIRE
Il y a urgence pour une autre politique
Donnons plus à celles-ceux qui ont le moins
Pourquoi le projet Elimas veut liquider l’Éducation prioritaire ?
À chaque réforme, on nous explique que l’Éducation prioritaire ne remplirait pas sa mission : difficultés et inégalités qui perdurent, étiquette « stigmatisante » créant fuite des élèves les moins en difficultés et une ghettoïsation, multiplicité des labels non lisibles…
Au prétexte que la carte des réseaux actuelle oublie les LP, les zones rurales défavorisées et les écoles isolées, une expérimentation dans les académies d’Aix‐Marseille, Lille et Nantes va créer des « contrats passés entre les établissements et les rectorats sur la base de leur projet ». Selon la secrétaire d’État à l’Éduc prio, il y aura un « cadrage et une grille d’indicateurs nationaux ». Or , instaurer un cadre national avec des indicateurs (lesquels ?) et attribuer des moyens locaux par « projet », c’est incompatible.
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