ORGANISONS LA RÉSISTANCE ! Le jeudi 8 avril, ZÉRO AESH DANS LES CLASSES
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ORGANISONS LA RÉSISTANCE !
Le jeudi 8 avril, ZÉRO AESH DANS LES CLASSES
Pour l’abandon des PIAL et un vrai statut pour les AESH
L’École inclusive soutenue par le ministère est actuellement un véritable laboratoire de précarisation. Les 110000 personnels AESH qui accompagnent un nombre croissant d'élèves en situation de handicap sont soumis à des conditions de vie et de travail extrêmement précaires.
Ce cadre défavorable permet à certaines directions (Dasen et établissements) de dégrader encore les conditions de travail des AESH. Cette politique de gestion purement comptable et déshumanisée nuit à l’accompagnement des élèves en situation de handicap. Un salaire en dessous du seuil de pauvreté, l’enchaînement de CDD pour un futur CDI… Tout ceci laisse les AESH dans la précarité, sans aucune formation qualifiante ni diplômante pour remplir leurs missions !
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Grève du 06 avril Pour nos salaires, nos emplois et notre Service public d’Éducation
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Grève du 06 avril
Pour nos salaires, nos emplois et notre Service public d’Éducation
La crise sanitaire a démontré que les Services publics étaient indispensables à notre société, à tou∙tes les usager·ères et particulièrement aux plus fragiles. Cette crise a aussi souligné le manque criant de moyens pour leur bon fonctionnement. Si les services hospitaliers sont saturés, c’est avant tout parce qu’ils subissent des années de restrictions budgétaires. De même, si le protocole sanitaire est difficilement applicable dans l’Éducation nationale, c’est parce qu’il manque des personnels et des locaux. Tout ceci entraine une augmentation de la précarité dans toute la Fonction publique. C’est préjudiciable pour tout le monde et fait reposer l’effort principalement sur les seul·es agent·es.
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Déclaration de la CGT-Éduc'action au CTM du 17 mars 2021
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La crise sanitaire a accentué la précarité dans notre pays et les femmes sont les premières touchées. La journée internationale des droits des femmes du 8 mars a été l’occasion d’insister sur cette situation préoccupante : les métiers les plus précaires et les plus mal payés, de ceux qu’on appelle les travailleurs·euses invisibles sont en grande majorité exercés par des femmes. Y compris dans la Fonction publique où 67% des contractuel·les sont des femmes et qu’elles occupent à 70% les 10% des postes les moins rémunérés.
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LE DROIT DE RETRAIT : UN DROIT À CONNAÎTRE
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Les obligations de l’employeur en matière de santé et de sécurité au travail
Les obligations de l’employeur en matière de santé et de sécurité au travail définies, pour la Fonction publique, par le décret n°82-453 du 28 mai 1982 relatif à l’hygiène et à la sécurité du travail ainsi qu’à la prévention médicale dans la Fonction publique, modifié par le décret n°95- 680 du 9 mai 1995 assurent, si elles sont appliquées, un haut niveau de protection des agent·es et imposent à l’employeur une obligation de moyens et de résultats. Ainsi, toute situation de travail susceptible d’altérer, d’une manière ou d’une autre, la santé physique, psychique ou sociale d’un·e agent·e, doit être adaptée : la loi interdit que le travail altère la santé et encadre l’exercice d’un droit de retrait, face à un danger grave et imminent. Les outils légaux existent donc. L’enjeu pour les salarié·es et pour la CGT est d’obtenir leur application. L’administration, à tous niveaux, a pour habitude de contester la légalité de l’exercice du droit de retrait. Il est toutefois fondamental d’exercer, et d’inciter à exercer ce droit, à bon escient, pour se protéger, et protéger les collègues.
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Concours Professeur·es des écoles : un nouveau mépris ministériel
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Concours Professeur·es des écoles : un nouveau mépris ministériel.
En novembre 2020, alors que le ministère de l’Éducation nationale annonçait qu’il y aurait 1000 postes de moins ouverts aux concours cette année (9890 en 2021 contre 10790 en 2020), la CGT Éduc’action dénonçait déjà cette saignée et ce reniement ministériel de faire du premier degré une « priorité ».
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