EN GRÈVE POUR UNE ÉGALITÉ SALARIALE

RÉELLE FEMMES-HOMMES

DANS LES ÉTABLISSEMENTS SCOLAIRES, DANS LES UNIVERSITÉS !

DES MOYENS POUR METTRE FIN AUX INÉGALITÉS SALARIALES ET À LA PRÉCARITÉ

Alors que la loi qui impose « à travail de valeur égale, salaire égal » a 50 ans cette année, le ministère de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports agit peu. Si le plan national d’action pour l’égalité femmes-hommes a été acté au ministère, il tarde à se mettre en place dans les rectorats et pour le moment les effets sont peu visibles pour les personnels dans les établissements et les services.

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Lire notre lettre d'information à tous les personnels

 

 

Égalité femmes-hommes : énorme enjeu de l’Éducation nationale !

 

"on a l’illusion que le statut général des fonctionnaires serait

une garantie suffisante du respect de l’égalité"

L’égalité entre les femmes et les hommes est trop souvent considérée comme acquise. A fortiori dans la Fonction publique, on a l’illusion que le statut général des fonctionnaires serait une garantie suffisante du respect de l’égalité entre les femmes et les hommes. Or il n’en est rien, en raison des stéréotypes et des critères de gestion qui sont discriminants. En 2015, 62 % des agent·es de la Fonction publique sont des femmes (46 % dans le secteur privé), mais les filières, corps et/ou cadres d’emplois à prédominance féminine sont sous-valorisés, y compris à qualification et diplôme égaux. La liste des inégalités est longue : non-mixité des métiers et des filières, plafonds et parois de verre, précarisation des emplois féminisés, recours accru à l’emploi non titulaire, temps partiel soi-disant choisi ou temps non complet très féminisé, régime indemnitaire inégalitaire, rémunérations et retraites plus faibles, carrières et avancements grignotés, etc. Une approche spécifique s’impose, pour que la CGT soit la CGT de tous et toutes les agent·es de la Fonction publique.

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Lettre ouverte à Monsieur Jean-Michel Blanquer,

 

ministre de l’Éducation nationale

 

Monsieur le ministre,

Des représentantes de nos organisations CGT Éduc’action, FSU, SUD éducation ont publié une tribune dans Le Monde sur les violences sexistes et sexuelles dans l’Éducation nationale et l’Enseignement supérieur et la recherche le 22 novembre 2019. Elles y dénonçaient les manquements des services de l’Éducation nationale et l’Enseignement supérieur et la recherche en matière de protection des victimes de violences sexuelles et sexistes et l’impunité qui en résulte.

 

8 mars : marches féministes contre

la réforme des retraites.

 

Partout dans le monde, les femmes se lèvent et se révoltent pour dénoncer la domination et l’exploitation et remettre en cause le patriarcat. Partout dans le monde, les femmes luttent pour leurs droits, l'égalité et leur émancipation.

Ainsi, en Irlande du Nord, le droit à l'avortement est enfin légalisé depuis le 22 octobre 2019, alors qu'aux États-Unis, le débat entre « pro life » et «pro choice » est de plus en plus vif et devient pour Trump, antiféministe, un axe de campagne pour sa réélection.

En Espagne, les femmes se sont battues depuis des mois pour obtenir une retraite digne avant que le nouveau gouvernement de Pedro Sanchez n'augmente les pensions en janvier 2020.

Tant de combats pour le droit des femmes qui amènent la CGT, la FSU et Solidaires avec des organisations féministes à porter le mot d'ordre de grève internationale féministe.

 

Enquête violence

 
La CGT Éduc'Action s'adresse à l'ensemble des personnels afin de mener une campagne d'ampleur sur les violences sexistes et sexuelles dans le cadre du travail.
 
Cette enquête a un triple objectif :
  • Sensibiliser les salarié·es et les représentant·es des salarié·es
  • Dégager des pistes d'action à partir de l'état des lieux
  • Imposer la mise en place de mesures concrète

 Je complète l'enquête en cliquant ici