Jeudi 3 mars 2016

Communiqué

L’intersyndicale second degré (le SNES-FSU, le SNEP-FSU, le SNFOLC, le SNETAA-FO, le SFSDPEP-FO, la CGT, la CGT enseignement privé, le SNALC FGAF , le SNCL-FAEN, le SIESFAEN, la CNGA CFE-CGC, le SUNDEP-Solidaires et SUD Education) appelle les personnels à rejoindre les manifestations et initiatives prises en particulier par les organisations de la jeunesse le 9 mars prochain pour le retrait de la loi El Khomri. Elles sont partie prenante de ce combat contre la réduction des droits et garanties du monde du travail et pour leur amélioration qui passe aussi par l'ouverture de nouveaux droits...

La CGT Éduc’action appelle à la mobilisation :
Le 9 mars avec les organisations de jeunesse
Et dans toutes les actions et initiatives pour préparer la grève nationale interprofessionnelle du 31 mars
Des préavis de grève sont déposés chaque jour

Le tract de la CGT-Éduc'action au format 

Le projet de réforme du droit de travail proposé par le gouvernement porte en lui des reculs historiques pour tou-te-s les salarié-e-s...

Info'Com-CGT condamne ce projet au service unique des patrons et au profit du capital. Notre syndicat le combat en dénonçant les droits mis en place pour les patrons et participe à toutes les initiatives luttant contre toutes les mesures de ce projet archaïque et réactionnaire...

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SIGNEZ LA PÉTITION À L'ADRESSE SUIVANTE :

Loi travail : non merci ! 

Hier, le 1er ministre Manuel Valls recevait les présidents de régions, en particulier pour trouver des solutions financières à son « plan formation 500 000 demandeurs d’emploi ». Les présidents de régions sont donc venus faire leur « marché », réclamant la régionalisation du service public de l’emploi, remède miracle selon eux au placement des chômeurs vers ces fameux « métiers en tension » disponibles dans les régions…Comme un refrain suranné, il s’agit de pourvoir les besoins dans l’hôtellerie, la restauration, les métiers d’aide à la personne...Chacun se gardant de révéler son projet partagé : obliger les personnes à accepter des emplois sous payés, souvent précaires et aux conditions de travail déplorables, tout en démantelant le service public national de l’emploi. Ces demandes arrivent, bien entendu, à la veille de l’ouverture de la négociation assurance chômage…